mercredi 4 février 2009

La bouche ferme

Francis Bacon, La femme assise, 1961

A force de raconter sa vie, Marie-Georges s'est fait aspirer par son nombril. Elle tapotait mollement sur son clavier, comme à son habitude, lorsque cela se produisit. Engloutie, les mains dépassant à peine suffisamment pour atteindre les touches, la voilà dans de beaux draps.
Elle n'est donc plus en mesure de tenir ce blog. Elle remercie vivement tous ceux qui ont pris la peine de venir lire et commenter ses billets.

(Moi je dis qu'un jour ça me reprendra peut-être...)

1 commentaire:

Le coucou a dit…

Mais non, elle n'est pas fermée, et c'est tant mieux! Je me glisse ici pour dire que j'ai accumulé du retard de lecture. Il faut que je revienne demain!